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le Ranger, un aventurier vaguement héroïque qui tente de donner un semblant de cohésion dans le groupe. Il doit sans relâche séparer l’Elfe et le Nain et apaiser les discussions pendant les négociations. Il aime les combats préparés à l’avance, chose difficile avec le Nain et le Barbare. La compagnie le pense expérimenté avant qu’il n’avoue son niveau 1. Il avait en effet déjà effectué une quête, consistant à chercher les poules de son grand-père dans tout son village. Il est parfois désespéré et a souvent des « envies suicidaires ». Il a également tendance à vouloir utiliser des compétences qu’il n’a pas (lire le menzzorien et voler une bourse dans l’auberge Au rat d’égout lubrique). C’est aussi lui qui se rince le plus souvent l’œil sur les charmes de l’Elfe du groupe. Il n’a qu’un semblant de courage mais est tout aussi drôle. Il découvre que grâce aux chiantos du Nain, il peut être aussi chiant que lui. Il possède des qualités de chef de groupe plus que douteuses (ce que lui font souvent remarquer ses coéquipiers). |
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le Nain, un guerrier « chiant », parlant le gobelin à merveille, et dont la force et la répartie compensent sa taille. Prêt à tout pour remplir sa bourse (caractéristique commune à tous les nains, c’est génétique), poivrot invétéré, il ne supporte pas l’Elfe (ça aussi c’est commun à tous les nains) et fait preuve d’un très mauvais caractère. Grand amateur de bonbons Chiantos, il combat à la hache. Pour l’argent, il ira jusqu’à calculer les prorata pour le partage des 8 000 pièces d’or entre 7 personnes, mais en oubliant la somme qu’ils doivent à une guerrière. Il est également l’arrière petit-fils du célèbre voyageur nain : Gurdil. Il est très ami avec le Barbare notamment au niveau des combats, brutalité et emmerdeur. |
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l’Elfe, une archère, plus douée pour toucher ses coéquipiers que sa cible, plus qu’un peu naïve, à la poitrine avantageuse (elle gagne d’ailleurs un bonnet de soutien-gorge a chaque passage de niveau), toute de vert vêtue, et qui a horreur du nain (d’ailleurs, c’est réciproque). Ses activités préférées sont cueillir des framboises et coiffer des poneys. Elle aime beaucoup le Ménestrel. |
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la Magicienne, une femme passionnée par les livres en général, et les livres de sorts en particulier. Elle est la seule apte à comprendre le langage ogre, ainsi qu’à peu près tous les langages de la terre de Fangh, et utilise surtout la magie de combat. Elle adore les livres et grimoires de magie. C’est aussi une véritable bibliothèque humaine. Par contre elle ne sait pas s’orienter. Elle tente de remédier à la naïveté de l’Elfe bien que ce soit une tâche ardue. Un accident magique survenu pendant ses études lui a altéré définitivement la voix |
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le Barbare, un combattant venu des terres de Kwprztt à l’est de Glargh, à ne pas confondre avec un paysan. Il ne pense qu’à se battre, et il n’aime pas la magie. Ses mots préférés sont «Baston ! » et « Tarlouze ! ». Il déteste la poésie du Ménestrel. Mais il est très doué pour résoudre les énigmes malgré son manque d’intelligence |
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l’Ogre, une grande créature toujours affamée s’exprimant par borborygmes primitifs. Prêt à manger n’importe quoi, il agit par instinct, ce qui le fait bien s’entendre avec le Barbare, mais reste dévoué à la protection de la Magicienne, seule apte à comprendre sa langue. Il aime aussi jouer de la guitare et c’est le seul (avec l’Elfe) à apprécier la musique du Ménestrel. L’aventure, d’après lui, consiste à découvrir de nouveaux goûts et nouvelles nourritures. |
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le Voleur, un homme rusé, mais pour le moins couard, qui préfère éviter les combats. Mais on constate que sous l’effet de l’alcool, il devient plus téméraire, comme le prouve l’épisode de la taverne, où il aide le Nain à déclencher une bagarre générale, en essayant de voler les vêtements de la serveuse. Mais il a pu constater la force de frappe du Barbare à plusieurs reprises (ne jamais traiter un barbare de paysan!). Il a de bonnes manières et sait détecter les pièges ; malheureusement cette dernière compétence laisse à désirer... En outre, il avait pris l’Elfe en grippe depuis qu’elle lui avait tiré une flèche dans le dos. |
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